Affaire conclue : après l’avoir désavouée, Sophie Davant injurie une vendeuse sur France 2

Quelle mouche a piqué Sophie Davant ? De nouveau insupportable, elle se fait atomiser sur les réseaux sociaux. On vous dit tout !

© France 2

Pas évident de gérer une émission comme Affaire conclue. Depuis la première, Sophie Davant essaie de tout contrôler, mais sans y parvenir !

SOS Sophie Davant en détresse

Cher ami d’Objeko, saviez-vous que l’émission Affaire conclue vient d’Allemagne ? Baptisée Bares für Rares, la chaine ZDF propose à son équipe de brocanteurs d’échanger « de l’argent pour une pépite« . Diffusée à partir de l’été 2013, elle pulvérise régulièrement des records d’audience. Lorsque le responsable des programmes de France Télévisions a un épisode, il a eu un coup de cœur. C’est un évidence, en France, ça va fonctionner. Reste à trouver le présentateur. Du côté de la direction, on l’imagine avec assez de connaissances et de poigne pour gérer une équipe de chineurs et de commissaire-priseurs.

Vu son amour pour les belles choses et sa passion pour les têtes couronnées, Stéphane Bern avait toutes les caractéristiques du candidat idéal. Cependant, après plusieurs jours de réflexion, ce dernier ne saisit pas les clés d’Affaire conclue. Effrayé par le conflit, il redoute que public le trouve moins crédible que dans ses documentaires Secrets d’histoire. Pour toutes ces raisons, et d’autres encore que nous ignorons, il préfère prendre ses distances avec ce magnifique projet. Dans les couloirs de France 2, la tension monte d’un cran. Qui aura les épaules assez larges pour assumer ce programme mêlant passé, présent et futur ? À la tête de nombreuses émissions de témoignages, le dossier Sophie Davant tombe comme un cheveu sur la soupe. Et si c’était elle ?

Et là, pour les accros à Affaire conclue, tout s’écroule !

Depuis quelque temps, dans la salle des ventes d’Affaire conclue c’est le jeu des chaises musicales. Jute après le premier confinement, Pierre-Jean Chalençon disparaît. À cause d’une énième polémique, le propriétaire du Palais Vivienne est invité à faire ses valises. Amer, il ne supporte pas d’avoir été limogé de la sorte. Aussi il commence à cracher dans la soupe. Quand ce n’est pas Caroline Margeridon, c’est Sophie Davant qui en prend pour son garde. Selon l’intéressé, elles ne l’ont pas suffisamment défini auprès du grand manitou. De temps en temps, elles réagissent et laissent entendre que c’est l’inverse. Trois ans après les faits, personne n’a eu le fin mot de l’histoire. Que c’est triste !

Mettant de côté ce sac de nœuds impossible à démêler, les téléspectateurs préfèrent se consacrer sur les objets en vente. Tous les jours, ils les commettent sur Twitter. Ce qui les intéresse le plus, c’est l’attitude des experts des vide-greniers. Vont-ils suivre les recommandations des commissaires-priseurs ? Vu qu’ils ne le connaissent pas à l’avance, les séquences d’Affaire conclue deviennent souvent cultes. Et celle qui arrive vaut son pesant de cacahuètes ! Sortez les pop-corn et bouclez votre ceinture, nous rentrons dans une zone de turbulences !

Elle persiste et signe

Après avoir regardé ce banc à la loupe, la présentatrice d’Affaire conclue a un flash. Se remémorant ce film culte des années 80, elle tente de partager son souvenir avec la vendeuse. Bien mal lui en a pris. Hélas, à son grand malheur, elle s’aperçoit qu’elle fait un bide. Pire encore que personne ne rebondit sur sa référence cinématographique. Blessée, elle va alors réagir à sa manière. Mieux que personne, l’ex-femme de Pierre Sled manie l’ironie ainsi le sarcasme. Ami d’Objeko, elle va le prouver aux téléspectateurs !

Quand elle réalise que ce banc a été utilisé pendant un mariage, Sophie Davant tombe le masque. Depuis le début de sa carrière, elle tente de cacher son cœur en guimauve à l’intérieur d’une carapace en titane. Mais ses fans ne sont pas dupes. Derrière le mot « folle » employé ce jour-là, l’animatrice d’Affaire conclue envoie en réalité une bouteille à la mer. Contrariée qu’on la trouve « hautaine« , son leitmotiv demeure identique. Quand elle est à l’antenne, elle  « donne une âme » aux reportages ou aux objets. Et si on l’apprécie autant qu’on la rejette, c’est tout simplement parce que ses rivales « incolores et inodores, on les a déjà oubliées » !