Les aides sociales sont très utiles pour certaines personnes. Malheureusement, de nombreux contribuables en abusent. Découvrons l’histoire de ce couple qui en plus de bénéficier des aides sociales veut se faire financier son mariage aux frais de l’état. Ne vous inquiétez pas, la rédaction d’Objeko, va tout vous dire sur cette affaire incroyable. Vous êtes prêts ?
La demande incroyable d’un couple à l’état britannique
C’est une histoire assez folle que nous allons vous raconter. Celle d’Anna et Jordan, un couple britannique de 32 et 35 ans. Sans emploi, ils vivent des aides sociales depuis des années. Si jusque-là, il n’y a rien d’étonnant, la suite va être incroyable. En effet, les deux tourtereaux, ont l’ambition actuelle de se faire financer leur mariage aux frais du contribuable via un prêt du gouvernement. Non, non, ce n’est pas du tout une blague. Ils considèrent que c’est leur droit le plus fondamental d’être mariés dans de bonnes conditions.
Mais ce n’est pas d’un simple mariage à la mairie dont rêve Anna et Jordan. C’est plutôt le mariage de princesse. Avec calèche, groupe de musique, du champagne et pour agrémenter le tout, une lune de miel au Mexique. La future mariée réclame donc 10 000 livres à l’Etat britannique pour s’offrir sa cérémonie. Plus 2000 pour financier la lune de miel : »Je mérite un mariage de conte de fées et une fête dans un château ».
Le gouvernement a décidé de réagir
Leur demande pour ainsi dire fantaisiste a été très mal prise par l’opinion publique. En effet, les britanniques, n’ont pas compris la demande du couple. Il faut dire qu’ils considèrent très mal venu de vouloir se faire offrir un mariage grandiose aux frais du contribuable. Et surtout, ils considèrent, que le couple n’est pas le seul, en situation de précarité dans le pays ou même dans le monde. D’ailleurs, cette demande a fait également réagir le gouvernement britannique.
Le gouvernement britannique n’est pas facilement influencé par ce genre de requête fantasque. En effet, Jonathan Isaby, Directeur Général de l’alliance des contribuables n’a pas hésité à s’en prend au couple. En expliquant notamment que le système de prestations est un filet de sécurité précieux, mais ne doit pas être une couverture confortable. Les gens doivent financer leur propre mariage plutôt que de compter sur un prêt gouvernemental, qui serait financé par le contribuable. Voilà qui est dit.
