Tous les changements qui tombent à partir de ce mercredi 1er février 2023
A partir du 1er février, les choses bougent sur plusieurs plans dans l’hexagone. Et, il y a des bonnes et des mauvaises nouvelles. La mauvaise, c’est que les prix augmentent pour l’électricité et les péages. La bonne, c’est que les taux grimpent pour les livrets A et LEP. Par ailleurs, la Fondation Abbé Pierre met en lumière son étude sur le mal-logement et il n’est pas très positif. Le Comité Confédéral National de la CGT s’est rassemblé le 1er février pour trouver un successeur au secrétaire général. Récapitulatif des éléments à retenir.
Les augmentations du 1er février
Avec l’inflation, le gouvernement a mis en place un bouclier tarifaire en 2021 qui avait pour but de limiter l’augmentation des tarifs des énergies. En 2023, le bouclier sera toujours là, mais, au 1er février, il n’empêchera pas une hausse de 15% sur l’électricité.
« La limitation est supérieure à celle de 2022 (qui était de 4 %) mais elle concerne tous les ménages, les copropriétés, les logements sociaux, les petites entreprises et les plus petites communes », informe le service public.
Alors, les foyers doivent s’attendre à une augmentation de 20 euros environ par mois. Le gouvernement précise quand même sur le fait que la hausse aurait été de 180 euros sans bouclier tarifaire.
Ensuite, au niveau des péages, plusieurs réseaux augmentent leurs tarifs de 4,75% environ. Il s’agit des autoroutes de Vinci Autoroutes, Autoroutes Paris-Rhin-Rhône (APRR), autoroutes Rhône-Alpes (AREA) et Sanef SAPN.
Enfin, la seule augmentation qui nous fait pla*s*r, c’est celle du livret A et du Livret de développement durable et solidaire (LDDS) passe respectivement à 3 % et 6,1 %.
Les conclusions de la Fondation Abbé Pierre sur la situation du mal-logement
Réunion à la CGT au sujet de la succession de Philippe Martinez
- Fin des arrêts de travail sans jour de carence pour les victimes de la Covid-19
- Hausse des plafonds de MaPrimeRenov’ à partir du 1er février
- Baisse de la durée d’indemnisation pour les demandeurs d’emploi
- Modification des conditions d’échange de billets SNCF dès le 1er février
- Mise à jour tous les mois du taux d’usure sur une durée de 6 mois