Pour Mélanie Gonzalez, pas facile de gérer sa tribu. D’autant plus que Marceau lui fait vivre un cauchemar éveillé. On vous dit tout !
La double peine de Mélanie Gonzalez
C’est l’évidence. Malgré les difficultés du quotidien, Mélanie Gonzalez aime Franck comme au premier jour. Et la réciproque est vraie ! Et pas question que leur dix-huitième anniversaire de mariage passe à la trappe. N’ayant pas beaucoup de disponibilité dans le planning, ils organisent une activité bain à bulles et boisson pour adultes. L’idéal pour échapper à cette fameuse routine qui peut devenir toxique.
Par contre, ne comptez pas sur eux pour en dévoiler les détails devant les caméras de TF1. Si on devait comparer à la tribu Pellissard sans pudeur qui vend son intimité sur les réseaux sociaux, on dirait que Mélanie Gonzalez ne mange pas de ce pain-là ! Elle tient à souligner quelque chose d’important. « Avant d’être maman d’une famille nombreuse ou un papa ou chef d’entreprise, on est aussi Franck et Mélanie (…) C’est mon moment en tant que femme« .
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Une fois qu’elle a mis les points sur les I avec ce détail, elle se sent mieux. À l’écran, elle assume volontiers son côté protecteur et bienveillant avec ses nombreux bambins. En ce qui concerne le petit dernier, c’est encore une autre histoire. Grandissant à vue d’œil, elle n’arrive pas à croire que son prince soit déjà au stade du biberon. Afin que ses copines mamans ne la jugent pas trop vite, elle précise qu’elle a dû le sevrer en urgence. « Avant, je l’allaitais, mais j’ai dû arrêter parce qu’on a eu du muguet. »
Cette seconde où tout a basculé !
Émue aux larmes, traumatisée par ces « quatre mois » douloureux moralement et physiquement, Mélanie Gonzalez clarifie sa pensée. Si elle avait eu le choix, elle n’aurait pas stoppé tout de suite. Fan de ce « moment de fusion, de complicité [et de] partage », elle ne s’en lasse pas d’en vanter les mérites. Force est de constater que ce récent calvaire sanitaire a bien failli tout gâcher. En tout cas, dans le secret de son âme, quelque chose s’est brisé. Sans qu’elle se l’explique vraiment, elle a et aura des regrets à vie d’avoir dû interrompre ce processus.
Suite aux réflexions de ses followers, Mélanie Gonzalez remet les pendules à l’heure. « Pour ma part, c’est la suite de la grossesse. Il y a toujours ce petit lien et je me dis que (mon enfant) a besoin de moi [car je suis la seule capable de] le nourrir. » Si un psychologue était là, il lâcherait sans doute qu’elle a du mal à couper le cordon. Ne supportant pas qu’on lui fasse la morale, elle reprend rapidement ses esprits. Du coup, elle balance sans ciller. « En fait, oui, je suis une mère possessive ! » Ce n’est pas grave… C’est aussi pour cette raison que le public, ses petits anges et son époux l’aiment et l’admirent autant ! Pourvu que ça dure…
