Frédérique (L’amour est dans le pré) victime d’un 2e vol, elle sort de ses gonds !

Si on lui avait prédit que l'expérience allait muter en désastre, Frédérique ne l'aurait jamais tenté. Sans plus attendre, on vous raconte les tenants et les aboutissants de son calvaire. Aïe, ça pique !

© M6

Toujours solaire, Frédérique ne laisse personne lui marcher sur les pieds ! Après avoir lu ses péripéties, rien ne sera plus comme avant !

Frédérique, plus cash que jamais !

Ces dix jours à Paris, et plus spécifiquement dans les pavillons de la porte de Versailles, Frédérique ne les louperait pour rien au monde. D’ailleurs, ses anciens camarades de L’amour est dans le pré sont également au rendez-vous. Du reste, la présentatrice de l’émission mythique en profite pour faire une photo de famille. C’est l’évidence. Le temps d’un instant, l’équipe d’Objeko aurait tant voulu muer en petite souris pour assister aux retrouvailles. Hélas, pour la chérie de Pierre, cette session 2023 va se transformer en cauchemar éveillé !

Capture d’écran (c) Instagram (c) pierrefredlamourestdanslepre

Dans cet article, la rédaction d’Objeko abordait la reconversion de Frédérique. Soutenue par son époux ainsi que sa communauté, elle se sent pousser des ailes. Aussi, lorsque le Salon de l’Agriculture arrive, elle se dit que c’est un excellent moyen pour faire de la publicité. Du coup, jusqu’à la dernière minute, elle fignole les derniers détails. Encore une fois, si elle avait pu prévoir ce double épisode calamiteux, elle s’y serait prise autrement. Allez, on arrête de faire durer le suspense, on va tout vous expliquer.

Cette« nana blonde enceinte, avec son mari« , les visiteurs auraient pu lui donner le Bon Dieu sans confession. Sous son costume d’ange se dissimule le diable. En dérobant une bouteille sous le nez de Frédérique, elle n’a pas joué la carte de la discrétion. Croyant naïvement qu’elle allait pouvoir camoufler l’objet dans la poussette, elle a mal calculé son coup. Prise en flagrant délit par Frédérique, la faussaire monte sur ses grands chevaux. Pire encore, voulant asseoir son autorité, elle lui choppe le bras et les noms d’oiseaux fusent. Qui aura le dernier mot ?

La goutte d’eau ?

Comme le précise l’adage, un malheur n’arrive jamais seul. Sur son compte Instagram, Frédérique tire la sonnette d’alarme auprès de ses followers et des visiteurs. « Je suis furax, on vient de [nouveau] de nous piquer une bouteille à 125 euros. » Datant de 1973, les amateurs d’Armagnac apprécient tellement cette cuvée qu’ils sont prêts à casser leurs tirelires.

Cette fois, Frédérique n’arrive pas à identifier le malfrat et ses complices. En racontant l’épisode à la sécurité, elle a l’air de culpabiliser de n’avoir pas été assez vigilante. Vu ce qui s’était passé quelques heures auparavant, elle savait très bien que son stand suscite la convoitise. Du reste, son constat ne laissera personne indifférent. En scannant les alentours, elle guette le moindre suspect « capable de fanfaronner avec une bouteille à la main. » Cette fois, elle ne parviendra pas à récupérer son précieux bien.

Ah si seulement elle avait pu le reconnaître, il / elle aurait passé un sale quart d’heure. Derrière son beau sourire, Frédérique n’apprécie vraiment pas être le dindon de la farce. Pas question d’avoir de la « pitié » pour ce genre d’escroc. Quand on dépasse les bornes, la maman de Gabriel switche en « mode warrior » ! Avis aux amateurs…