Maladies cardiaques : le nombre de pas à faire après 60 ans pour réduire les risques

Victime de maladies cardiaques, vous sombrez dans la paranoïa. Au moindre coup de fatigue, vous avez l'impression de rechuter. Et si la solution était aussi simple qu'un jeu d'enfant ?

© PasseportSanté

Mis à part les médicaments à vie, les maladies cardiaques effraient les Français. Heureusement, cette étude va changer la donne !

Les maladies cardiaques comme vous ne les avez jamais lues !

Dans la presse, sur des forums de discussion sur la Toile et même chez le médecin, on nous vante les mérites de la marche. Et pour cause, cette activité sportive ne nécessite pas d’accessoires et encore moins de la présence d’un coach. Quant à l’abonnement en salle avec de multiples machines inutiles, c’est le moment de le résilier. Depuis la pandémie, des tutoriels vidéo ou des applications sur smartphone arrivent à pallier aux besoins des débutants comme des experts. C’est pourquoi, si les maladies cardiaques font malheureusement partie de votre patrimoine génétique, vous devez prendre ce conseil au sérieux. Et ce n’est pas cette équipe de scientifiques chevronnés qui pourra dire le contraire !

Après avoir sélectionné plusieurs partenaires sur tout le continent, Amanda Palush établit une liste de 20.000 cobayes. À toutes fins utiles, sachez que les heureux élus habitent dans un peu plus de 40 pays différents. La condition sine qua non pour y participer était d’avoir franchi le cap de la soixantaine. En tout et tout, elle a analysé leur santé à la loupe pendant six longues années. Ces 1.523 signes de maladies cardiaques lui ont mis la puce à l’oreille ! Son constat est sans appel. « En accumulant plus de pas par jour, le risque diminuait progressivement » !

Un constat fracassant

Dès lors, face à l’épuisement de certains patients, elle décide de mettre au point une échelle. Si vous en faites entre 6.000 et 9.000, le danger de maladies cardiaques baisse de moitié. Tout en bas du tableau, elle n’oublie pas et réserve une place particulière à ceux qui en réalisent au minimum 2 000. Qu’on se dise, forcée de rester objective, au moindre choc, elle ne compte pas leur faire de cadeaux.

De surcroit, elle persiste et signe et indique que “les personnes les moins actives ont le plus à gagner » en somme, contrairement à ses confrères, elle préfère une progression lente que trop rapide. Selon elle, le risque de lassitude ou d’épuisement est évidemment à prendre en considération. QUID de la date de naissance sur la présence de maladies cardiaques ?

Viellir est-il un critère ?

C’est un fait. Chaque changement de dizaine angoisse au plus haut degré. Aussi, cette spécialiste des maladies cardiaques fait preuve de tendresse avec les futures générations. Mis à part le cas de l’héritage sanitaire, ce genre de pathologie aurait un lien direct tant il « ne se concrétise souvent qu’à un âge avancé. »

Maintenant que son projet avec les seniors est terminé, elle voudrait se consacrer à la connexion avec autre chose que les maladies cardiaques. Souhaitant à tout prix éviter que les « jeunes adultes » ne se reposent sur leurs lauriers, elle insiste sur le fait que le sport est un ange gardien. Hypertension, diabète de type 2, on doit impérativement se surveiller pour conjurer le mauvais sort. Elle vivante, elle fera en sorte que ces dernières ne propagent trop rapidement dans l’organisme. Après deux ans de pandémie, avouez que ça serait dommage d’en arriver à ce point de non-retour.