Martin (Koh-Lanta) obligé de quitter l’aventure, ce départ choc totalement inattendu

Qu'on ne parle plus à Martin de Koh-Lanta ! Encore traumatisé par sa blessure, il déplore avoir dû tirer un trait sur son rêve. De ses relations avec ses camarades en passant par son moral en dents en scie, il dit tout !

© TF1

Si on avait prédit à Martin qu’il allait devoir jeter l’éponge, il n’y aurait jamais cru ! Malgré ses efforts, ça n’a pas suffit !

La double peine de Martin

C’est l’évidence. Depuis quelques années, Martin s’accroche à sa bonne étoile tel à une bouée de secours. Et pour cause, lassé et assommé par le stress de son métier d’économiste, il se reconvertit en revendeur de fromton. Comme un bonheur n’arrive jamais seul, on finit par lui proposer « une opportunité en or ». Maintenant qu’il est au pied du mur, il serait fou de refuser de se jeter à l’eau. Amusé, il résume ainsi sa vie active. « J’étais trader la semaine, fromager le week-end. »

Aussi étrange que cela puisse paraître, il a un déclic au moment d e la pandémie. Malgré la fermeture des commerces non essentiels, il se sent nettement plus épanoui dans ce job. De leur côté, ses proches hallucinent. Qui pourrait être assez dingue pour faire l’impasse sur « un salaire très confortable » à presque rien pendant presque trois ans ? Face à nos confrères de Voici, il explique que de la motivation, il en a à revendre. « Je me réveille le matin, j’ai la chance de travailler pour moi et de rencontrer des personnes formidables. »

Koh-Lanta, c’est que du cinéma ?

Il y a quelques semaines, Denis Brogniart annonce une terrible nouvelle. Avec cette reformation des équipes en urgence, le présentateur de Koh-Lanta jette de l’huile sur le feu. Dire que Martin ne s’est jamais vraiment senti à l’aise à l’intérieur de cette tribu est un euphémisme. Malgré les efforts de ses anciens rivaux, il voyait bien que c’était un stratagème. Par exemple, lorsqu’il osait piquer la « place » de quelqu’un d’autre, « on [lui] faisait vite comprendre que ce n’était pas là. » Un peu amer, il précise sa philosophie. « La seule façon d’avancer, c’était de gagner les épreuves. »

Téléspectateur assidu de Koh-Lanta, il envisage tous les scénarii possibles. Évidemment, son leitmotiv est de ne surtout pas partir en premier. Ce fameux Totem lui permettant d’esquiver le conseil, il en rêve matin, midi et soir. Bref, avant que le ciel ne lui tombe sur la pièce, Martin marchait des œufs. Soudain, sa cheville dérape, brisant dans le même temps ses plans en de minuscules petits morceaux.

Sur le moment, personne ne voit la gravité. Le prenant pour le boute-en-train du camp, certains iront jusqu’à lui demander d’arrêter de faire la comédie ! Soucieux de vouloir gagner la récompense gastronomique de cette épreuve, Martin ne lésine pas ses efforts. Visiblement, c’était tout sauf une bonne idée !

Et là, c’est le drame pour Martin  !

Des étoiles plein les yeux, il se souvient de cet ultime repas partagé. Hélas, une fois son estomac bien rempli, il continue d’avoir mal. D’ailleurs, ne comptez pas sur Martin pour courir, il boite plus qu’il ne marche. Soucieux, ses camarades lui suggèrent d’appeler le médecin.

Lorsque le verdict tombe, il est sans appel. Déplorant de l’avoir appris en direct et non pas en catimini, il se souviendra toute sa vie du regard de ses collègues. Pour celui qui n’a jamais rien lâché dans sa carrière, déclarer forfait, c’est encore pire que d’être éliminé.

Enfin, quand les journalistes lui demandent s’il échange avec sa communauté, Martin est mi-figue mi-raisin. Ne voulant pas se contaminer par les critiques des hater, il dévoile une partie de sa sensibilité. D’ailleurs, la célébrité acquise par Koh-Lanta ne l’intéresse pas. Tout ce qui le fait chavirer, c’est l’adrénaline que l’émission procure !

Merci à nos confrères de Voici