Son chat lui mord la main, cet homme décède 4 ans plus tard… effroyable !

Les amoureux des animaux, et plus spécifiquement des chatons, devraient réflechir à deux fois avant de les mettre en colère. En effet, s'il sort les crocs et mort, vous êtes en danger.

© Assur O’Poil

Qui aurait dû qu’une banale dispute avec un chat puisse provoquer un décès ? Personne, y compris les experts, ne s’y attendait !

Amateur de chat, ouvrez l’œil !

Quand on aime les félins, on est prêt à tous les sacrifices pour en avoir un à soi. Indépendant, cet animal de compagnie n’a pas besoin de sortir tous les jours. Les aficionados précisent même qu’il a un sixième sens. Malgré les odeurs désagréables qui s’en émanent, vous devez impérativement prendre l’habitude de changer sa litière. En adoptant ce chaton, ce Danois sait pertinemment tout ce que cela implique. Or, à peine fait-il connaissance, qu’il le blesse au doigt ! Pas inquiet, il décide de rigoler de cette altercation. Comme la plupart des gens, il pense que seule la rage peut tuer. Il se trompait lourdement. Quelques jours après, il constate un radical changement d’apparence de sa main. Couleur bizarre, gonflement étrange, il préfère demander l’avis de son médecin traitant. Affolé de ne rien pouvoir faire pour le soulager, ce dernier l’envoie illico presto aux urgences !

Après radio, le personnel soignant l’informe qu’il va devoir passer sur la table. En tout, ce sera quinze allez-retour entre le bloc opératoire et sa chambre. Le mal dont il souffre s’appelle « fasciite nécrosante ». Le moins que l’on puisse dire, c’est que les experts ont des difficutés à éradiquer de son organisme, et plus spécifiquement de son sang. En interrogeant un vétérinaire à ce sujet, nos confrères de RTL rapportent son verdict. Il est sans appel. Le chat a des « dents plus petites et plus pointues. Elles laissent souvent des blessures profondes dans son sillage. »

Et là, c’est le drame !

En désespoir de cause, et après avoir testé toutes sortes de traitement, le propriétaire du chat accepte de se faire amputer de son index. Juste avant l’intervention, il forme le vœu de pouvoir enfin tirer un trait sur cette histoire et entamer une rééducation. Hélas, une banale prise de sang réduit ses espoirs en fumée. On lui indique que la bactérie n’est toujours pas partie. Quel calvaire ! Pour bien comprendre de quoi il en retourne, on va vous comparer la « morsure de [ce] chat [à] une seringue infectée qui pénètre dans nos tissus. » C’est dire la gravité de la situation !

En quatre ans, il est passé par tous les états. Quant à sa « santé« , elle se dégrade de jour en jour. « Système immunitaire affaibli, pneumonie, goutte et diabète »… il enchaîne les péripéties. Quand une disparaît, une autre, plus forte et redouble vient chambouler son précieux équilibre. Qui aurait pu croire que la situation allait déraper à ce point ? Celle qu’on surnomme « bactérie mangeuse de chair » finira par avoir le dernier mot. Profondément traumatisée par cette histoire, sa mère convoque la presse. Malgré son chagrin et son deuil impossible à faire, elle décide de partager son épopée. Son objectif est que le c*mbat de feu son fils ne tombe pas dans l’oubli et qu’elle puisse servir à un autre propriétaire de chat. Plus que jamais, au moindre doute, il faut consulter. Paix à son âme.