Lucie Bernardoni (Star Academy) sans tabou sur ses ‘bourrelets’ et ses kilos en trop

Quelle mouche a piqué Lucie Bernardoni ? Incapable de dissimuler ses kilos en trop, elle décide d'enfin déballer la vérité sur sa santé ! On vous dit tout !

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Qu’on se le dise, Lucie Bernardoni n’est pas qu’une finaliste ou une professeur de la Star Academy. C’est surtout une femme qui assume tout !

Lucie Bernardoni, plus cash que jamais !

En renvoyant ces images d’archives, Lucie Bernardoni a des frissons. Quel contraste entre ce qu’elle était hier et ce qu’elle est devenue aujourd’hui. À jamais gravée, son aventure à la Star Academy avec Grégory Lemarchal hante encore son esprit. Le fait que ces deux-là arrivent en finale est un déchirement pour les téléspectateurs. Certes, le public a deviné avec un peu d’avance l’issue de ce quatrième volet. Sauf que personne n’aurait pu anticiper que la maladie allait tout dévaster sur son passage.

Presque 20 ans après, Lucie Bernardoni retourne au château de Dammarie-Les-Lys. Elle ne compte pas s’y détendre. Et pour cause, la production lui demande d’entraîner les nouvelles recrues. Bouleversée d’endosser une partie du costume du mythique Matthieu Gonet, elle rivalise d’ingéniosité. Constatant le talent de cette promotion, elle pense évidemment à Grégory Lemarchal. Qu’il aurait été fier de voir cette prime en son honneur !

Vous l’avez compris sans qu’on vous fasse de dessin, Lucie Bernardoni ne lésine pas ses efforts. Durant six semaines du tournage, elle n’hésite pas à mettre les candidats face à leurs contradictions. Par conséquent, elle s’interdit de se reposer sur ses lauriers. Donc, il n’est pas question qu’eux se l’autorisent. Eh oui cher lecteur d’Objeko, ce n’est pas tous les jours qu’on a la chance de pousser la chansonnette avec de telles vedettes !

Et maintenant ?

Ce cliché de Lucie Bernardoni va rester longtemps graver dans l’esprit de ses admirateurs de la première heure. Pour une fois, elle ne tient pas un micro entre les mains. De plus, on ne voit aucun instrument dans les parages. Par contre, son choix vestimentaire intrigue. Ce n’est pas une illusion d’optique, on distingue nettement « [ses] bourrelets ». Rebondissant sur ce terme un peu péjoratif, elle botte en touche. « ‘Ce n’est pas un gros mot. C’est normal ! Pour toutes les gamines et les gamins ou les adultes qui regardent des corps parfaits ici ou là. Non, vous n’avez pas besoin de [l’] être. »

Au lieu de le cacher, elle choisit d’assumer sa prise de « quelques kilos« . Dans un sourire, elle confie avoir haï sa silhouette « pendant de nombreuses années. » Se trouvant parfois enrobée ou « maigre » elle mettra du temps à apprivoiser son reflet dans le miroir. Victime de brimades de la part des hater ou de son entourage, Lucie Bernardoni aurait davantage apprécié que quelqu’un lui tienne ce discours d’apaisement. « Nous avons toutes et tous des corps différents. Des défauts, des vergetures, des seins petits ou gros, qui tombent ou qui ne sont pas parfaits. »

Agacée par ce mythe de la perfection, elle balance du lourd. « N’ayez honte de rien. Aimez-vous comme vous êtes si vous vous sentez bien. Changez si [ce n’est pas le cas], mais pas en fonction du regard des autres. Bref. N’en ayez rien à faire de ce que l’on pense de votre c*rps. C’est le vôtre, justement. » Chez Objeko, on adore et on valide !