Dans le dernier numéro de Gala, Nikos Aliagas a fait de rares confidences. Le présentateur emblématique de la Star Academy a notamment évoqué le temps qui passe. Il a aussi pris le temps de parler de son plus grand complexe. Ne vous inquiétez pas, la rédaction d’Objeko, va tout vous dire sur le sujet. Vous êtes prêts ?
Nikos Aliagas évoque son physique
Dans ses émissions, Nikos Aliagas parvient toujours à recueillir les confidences intimes de ses invités. Mais cette fois-ci, c’était à lui de répondre aux questions. En effet, pour nos confrères de Gala, l’animateur s’est plié à l’exercice en évoquant son physique. A la question de savoir ce qu’il voyait en se regardant dans le miroir, il a répondu : »Avec le temps, je ressemble de plus en plus à mon père Andréas, je vois aussi le grand front de mon grand-père Spyros.
Nikos Aliagas poursuit son propos en expliquant qu’il était encore un peu un enfant mélancolique. Celui qui rêve et qui ne croit pas en lui : »Je vois certainement encore un peu cet enfant un peu mélancolique. Un doux rêveur qui n’avait pas confiance en lui ». Arrivé à un certain âge, de nombreuses personnes commencent à souffrir de la perte de cheveux. Mais si certains assument fièrement leur calvitie, pour d’autres, c’est une réelle source de souffrance. C’est le cas notamment de l’animateur de The Voice. Lisez la suite, vous allez comprendre.
L’animateur de TF1 est complexé par la perte de ses cheveux
Dans cette interview, Nikos a également révélé ce qu’il aimait le moins chez lui. Et la réponse, n’a pas mis longtemps à venir. En effet, il ne supporte pas ses cheveux : »Mes cheveux ou ce qu’il en reste ! Comme dirait un ami, les cheveux ne tombent pas, ils déménagent ! Ils quittent le crâne pour aller pousser ailleurs, le dos par exemple ». L’animateur emblématique de TF1 est tellement complexé, qu’il en parle souvent avec des célébrités ayant déjà perdu tous leurs cheveux. On pense notamment à Pascal Obispo ou encore à Nicolas Cantaloup.
Et le résultat de ces discussions, est toujours le même. En effet, selon eux, il vaut mieux se raser la tête pour savoir qui tu es : « J’ai de grandes discussions avec Pascal Obispo et Nicolas Canteloup qui me racontent quasiment la même chose : ‘Tant que tu n’as pas rasé ta tête, tu ne sais pas qui tu es !’« . Malgré tout, Nikos Aliagas ne souhaite pas changer d’apparence. En effet, il refuse complètement l’utilisation de la chirurgie : »Je ne suis pas un grand adepte du bistouri. Je n’ai rien modifié sur mon visage, les rides de mon front disent qui je suis ».
Nikos Aliagas a travaillé sur l’acceptation de soi
Suite à ce complexe, Nikos Aliagas a essayé de travailler sur l’acceptation de soi. C’est pour cette raison, qu’il ne veut pas devenir un autre homme. Pour lui, le temps fera l’affaire : »Pourquoi devenir un autre ? On ne joue pas longtemps à cache-cache avec le temps, il nous rattrape toujours. Mais je peux comprendre qu’une femme ou qu’un homme ait besoin d’être rassuré« . Comme vous le comprenez donc, malgré son métier public, il préfère toujours photographier les autres qu’être devant l’objectif.
