Patrick Bruel atomisé après ses propos sur l’obscurantisme, la Toile le compare à Nabilla

En moins d'une heure, la réputation de Patrick Bruel vole en éclats. Et pour cause, en le comparant à Nabilla, ses détracteurs jettent de l'huile sur le feu. Qui aura le dernier mot ?

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Si on lui avait prédit ces retombées, Patrick Bruel n’aurait jamais accepté l’invitation de Léa Salamé. On vous raconte tout en détail !

SOS Patrick Bruel en détresse !

Depuis septembre dernier, Léa Salamé récupère la case mythique de Laurent Ruquier, son objectif est de parvenir à faire aussi bien (ou mieux). Ça serait un joli pied de nez à ses détracteurs. Afin de réussir cette mission sans y laisser trop de plumes, elle s’entoure de deux collaborateurs de chic et de choc. D’un côté, les chroniques du caustique Philippe Caverivière font grincer les dents des invités. De l’autre, le culte Christophe Dechavanne fait son grand retour sur le petit écran. Récemment dézingué par Mathieu Delormeau, les téléspectateurs s’écharpent à son sujet. Contre toute attente, cette semaine, Patrick Bruel va être dans le collimateur des hater !

Après trois décennies de tournées à guichet fermé, Patrick Bruel estime qu’il n’a plus rien à prouver. Muni de sa guitare, il sillonne les routes de France. Au début de sa carrière, gérer ses fans n’a pas été une mince affaire. Qu’à cela ne tienne, il va s’accrocher à sa bonne étoile comme à une bouée de secours. Contrairement à d’autres camarades de sa génération, il ne mélange jamais son talent et ses idées politiques. Sauf que sur le plateau, il ne va pas avoir le choix.

Dans l’histoire de la cinquième république, jamais un quinquennat n’aura débuté autant sur les chapeaux de roues.  Interrompu à cause de la pandémie, Emmanuel Macron fait une promesse à ses électeurs. Celle d’aller au bout de sa réforme des retraites… quitte à abuser du 49.3 ! Sollicité à ce sujet, Patrick Bruel donne son avis. Il ignore encore que tout cela va se retourner contre lui. Faisant le distinguo entre les « parlementaires » et le « peuple dans la rue« , il va rapidement s’emmêler les pinceaux. Déplorant la « facture« , il estime que la seule issue serait de « calmer les choses, de reprendre le débat, de remettre [tout] sur la table. »

Qui aura le dernier mot ?

En entendant l’analyse de Patrick Bruel, notre collègue Eric Morillot sort de ses gonds. Voulant à tout prix l’opinion de ses followers, il résume cet extrait à sa manière. C’est « beau comme du Nabilla. »Il n’en faudra pas plus à ses derniers pour atomiser l’ex d’Amanda Sthers.  Dans un premier temps, ses détracteurs évoquent ses liens avec l’actuel président de la République. « Il m’insupporte comme beaucoup de sa clique » , ce « bobo de Paris déconnecté de la réalité et harmonie avec ce gouvernement », le « pote à Macron ».

À la fin 2021, il s’était déjà attiré les foudres des antivax en tenant des propos semblables au mari de Brigitte Macron. Sauf que cette fois, pas question de le laisser s’échapper entre les mailles du filet. Afin de bien déstabiliser ses admirateurs, certains manient le second degré à la perfection. « Avec ça la France est sauvée ! Que dis-je, le monde ! », « C’est creux, c’est le Patrick Bruel que l’on aime, celui qui se vend. » Pour l’instant, le concerné n’a pas encore réagi… Suite dans le prochain numéro d’Objeko !