Sylvie Tellier cash sur son départ de Miss France et Alexia Laroche-Joubert, « Tu te tais… »

Sylvie Tellier va animer pour la dernière fois l'élection de Miss France ce samedi 17 décembre. Elle révèle les vraies raisons de son départ.

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Sylvie Tellier est en train de vivre ses derniers instants en tant que directrice du comité Miss France. En effet, ce samedi 17 décembre, c’est bel et bien le dernier prime auquel elle va participer sur le plateau de TF1. Elle a bien voulu accorder une interview à nos confrères du Parisien pour faire le bilan de ce grand chapitre de sa vie, mais aussi des raisons qui l’ont poussé à partir.

Sylvie Tellier dévoile la vérité sur son conflit avec Alexia Laroche-Joubert

Il y a plusieurs mois, Sylvie Tellier déclarait qu’elle quittait la société Miss France. La nouvelle a fait l’effet d’une b*mbe. En effet, personne ne s’y attendait, car elle abandonnait cette grande famille pour qui elle avait tant donné pendant 17 ans. C’est Cindy Fabre, la Miss France 2005, qui va prendre le relais. Pour les journalistes du Parisien, la jolie blonde a bien voulu en dire un peu plus sur ce qui l’a poussé à partir.

C’est le clap de fin pour Sylvie Tellier

Ainsi, ce samedi 17 décembre 2022, Sylvie Tellier fait ses adieux au comité Miss France, mais aussi à tous les Français qui la regardaient tous les ans sur TF1. Quel est son bilan après tant d’années ? « J’ai rempli tous mes objectifs : gagner Miss Univers, voir le président de la République à l’Élysée, les Miss sont devenues des stars et ont enregistré les meilleures audiences… Dans d’autres circonstances, je ne serais peut-être pas partie. Mais là, j’ai 44 ans et les femmes ont le droit à plusieurs vies« , explique la maman de 44 ans au Parisien.

Une mésentente sur les règles de Miss France

En tout cas, Sylvie Tellier a du caractère et quand elle n’aime pas quelque chose, elle le dit. En effet, elle n’a pas vraiment adhéré aux changements voulus par la nouvelle productrice du concours. « C’est ma décision. Je n’étais pas d’accord sur le changement de règles [par exemple, les mères de famille sont autorisées, tout comme les tatouages, ndlr] et je me suis pris une claque en début d’année avec la mort de Jean-Pierre Pernaut. Il faisait partie de mon équipe et cela a été mon guide. Il m’a aidé pendant le confinement à trouver des solutions pour maintenir le concours grâce à des vidéos. L’année dernière, même malade, il était président du jury, et c’était un si joli cadeau de sa part. Sans lui, Miss France ne sera plus jamais pareil« , explique-t-elle avec regret. Elle ajoute au sujet de ses nouvelles règles : « J’ai trop souffert avec Geneviève de Fontenay [l’ancienne patronne des Miss, ndlr], je ne les jugerai pas. Tout changement a du bon. Tu pars et tu te tais. »

Sylvie Tellier est aussi revenue sur son altercation au moment de la conférence de presse : « J’ai trouvé cela super qu’elle reconnaisse une erreur de sémantique en disant que je ne produisais pas l’émission, alors que j’avais un regard artistique. À midi ce jour-là, on déjeunait ensemble. Ce n’était pas une éruption volcanique de ma part, j’ai été vexée, car on travaille tous ensemble. Ce n’est pas parce qu’on n’est pas d’accord qu’on est en tension. »

De nouvelles aventures pour la business woman

À présent, Sylvie Tellier va pouvoir se concentrer sur ses nouveaux projets. Elle est persuadée que l’élection « continuera d’exister après (elle)« . « Je suis tellement contente de redevenir simplement Miss France 2002. De ne plus être celle qui rappelle à l’ordre, c’est un poids qui s’allège. Je veux être une femme d’affaires, avant d’être une personnalité publique« , termine-t-elle. Est-ce qu’elle a un regret ? Un seul. Celui de ne pas avoir accompagné Diane Leyre à Miss Univers.