Brigitte Bardot au plus mal : ses confidences très alarmantes

Incapable de garder sa colère pour elle, Brigitte Bardot tire régulièrement la sonnette d'alarme. À quelques jours du passage à 2023, un simple article suffit à faire déborder son vase. On fait le point !

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Femme de conviction, Brigitte Bardot emploie toujours un vocabulaire percutant. Or, ces derniers temps, le dépit la gagne. Aïe, ça pique !

SOS Brigitte Bardot en détresse !

Depuis plusieurs décennies, la gent féminine a pour référence Brigitte Bardot… et les hommes aussi ! Si ses rivales ont tenté d’imiter son style, elles n’ont jamais pu réussir à avoir sa taille de guêpe. Bref, vous l’avez compris sans qu’on vous fasse de dessin, la muse blonde de Serge Gainsbourg traverse le temps sans ciller. Dès que l’un de ses films est à la télévision, il pulvérise des records d’audience. Refusant de venir sur les plateaux, elle préfère utiliser la Toile pour faire passer des messages. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle a plus d’un tour dans son sac. Avec elle… ça déménage !

Après avoir choisi de stopper sa carrière de comédienne, elle s’investit pleinement dans la cause animale. Les mauvaises l*ngues diront même qu’elle les privilégie par rapport… à son propre fils. Dans ses mémoires, elle avoue n’avoir jamais eu la fibre maternelle. Donc, durant son divorce, Brigitte Bardot ne prend pas le temps d’engager des avocats pour en obtenir la garde. Avec son père, elle sait qu’il ne manquera pas de cet amour qu’elle demeure incapable de lui offrir. On n’ose pas imaginer la souffrance de ne pas avoir de repères féminins. Avoir des gènes communs avec une célébrité, ce n’est déjà pas évident. Alors quand cette dernière vous rejette, cela doit être le cauchemar éveillé.

Brigitte Bardot sort de ses gonds

L’été dernier, alors qu’une vague de chaleur traumatise la France, Brigitte Bardot s’empare de sa plume. Allergique au mot « corrida« , elle fustige les amateurs comme les professionnels. Comment se fait-il qu’une telle discipline soit encore tolérée ? Pire, en Espagne, l’événement est presque aussi sacré que l’actuelle coupe du monde au Qatar.

Par le biais de sa fondation, Brigitte Bardot intervient régulièrement dans le débat public. La preuve, il y a quelques semaines, la foire chevaline organisée à Maurs (Cantal) suscite de nombreuses réactions. Interrogée par nos amis du journal Le Parisien, elle lance une bouteille à la mer. Remplie de ses larmes et de sa rancœur, elle reconnaît n’avoir pas pu la voir en entier. Traumatisée, elle tape du poing sur la table à nouveau, elle interpelle l’État. Que ce soit dans cette émission de France 2 où participe Emmanuel Macron ou au salon de l’Agriculture, ils ont tout intérêt à lui répondre. En exigeant son retrait, elle en profite pour balancer du lourd. Selon elle, l’hexagone est « la plaque tournante d’un commerce sc*ndaleux de chevaux condamnés à m*rt« . Qui pourra ou saura l’arrêter ?

Un bilan fracassant

Qu’on se le dise, ce n’est pas demain où Brigitte Bardot va temporiser ses colères. Faisant le bilan de ses engagements et tourments, elle déclare. « Parfois, oui, j’ai été découragée, car il en faut une puissance d’obstination et d’amour pour continuer envers et contre tout. »

Dès que sa Fondation l’alerte, Brigitte Bardot a l’impression que son cœur va lâcher. Déprimée, « le moral à zéro« , elle peut néanmoins compter sur tous les bénévoles de son association. C’est une évidence, elle perdurera après son passage sur Terre. Sans nous préciser ce qui est mentionné sur son testament, elle indique s’être organisée pour que tout fonctionne. Les larmes aux yeux, elle salue le professionnalisme et la bienveillance de son « équipe« . Suite dans le prochain numéro d’Objeko