Jacques Chirac et son épouse Bernadette Chirac ont partagé leur vie pendant 63 ans en se consacrant à la politique. Bernadette a été la Première dame de France entre 1995 et 2007 et a toujours soutenu son mari, qui était président de la République. Elle a été très appréciée par les Français. En 2019, à l’âge de 90 ans, elle a transmis sa fondation Opération Pièces Jaunes, qui était très importante pour elle, à Brigitte Macron. Quelques mois plus tard, son mari est décédé et elle s’est depuis lors retirée de la vie publique.
Le chateau de Jacques et Bernadette Chirac en Corrèze
Jacques et Bernadette Chirac ont acheté une grande maison près de Tulle en 1969. Le château de Bity, une vieille bâtisse du XVIIᵉ siècle, est situé sur neuf hectares de terrain. À l’époque, le couple avait deux enfants, Laurence (11 ans) et Claude (7 ans). Même si Bernadette Chirac est maintenant plus âgée et ne peut pas venir tous les week-ends, elle aime toujours se reposer dans cette région de France qui est chère au cœur de son mari ancien président. Les Chirac ont acheté cette belle propriété en pierre à la fin des années 1960.
La résidence du clan Chirac
Le père de famille, qui était en politique, a rapidement dû déménager avec sa famille à Paris. Selon certains médias, les époux ne visitaient le château qu’une fois par an pendant les dernières années.
Lors de ces rares visites, le couple Chirac recevait des amis et des personnalités politiques. Ils discutaient de l’actualité de manière intime, parfois en jouant une partie de billard dans l’une des deux maisons à côté de la propriété.
Le cout d’entretien du chateau est très élevé
Avant la mort de Jacques Chirac, sa famille aurait eu des difficultés à maintenir l’immense demeure corrézienne. Ils auraient essayé de dépenser moins d’argent chaque année pour l’entretenir, ce qui a fait que la propriété s’est détériorée. Maintenant, la mousse a recouvert presque tout le toit, les dix pièces ne sont plus chauffées en hiver, ce qui a causé des dégâts dans les murs et la clôture est brisée en plusieurs endroits. En 2011, France-Soir a décrit le manoir qui avait l’air triste et abandonné, et a également mentionné que les contribuables payaient 420 000 euros pour la sécurité.
