Jacques Dutronc face à une terrible fin, ses paroles à Françoise Hardy malade et en fin de vie

Pas de doute possible, après le couple Françoise Hardy et Jacques Dutronc, on a cassé le moule. Aujourd'hui, la maladie sème le chaos dans leur quotidien. On vous explique tout en détails !

© Radio Montmartre

Même si on lui avait prédit, Jacques Dutronc n’aurait jamais pu présager que les choses allaient déraper à ce point. On vous dit tout !

La double peine de Jacques Dutronc

En 2015 , tout bascule pour Françoise Hardy et Jacques Dutronc. Victime d’un cancer de la lymphe, elle ignore encore que le pharynx va suivre. Hélas, ces deux organes demeurent indispensables pour assurer sur scène. Forcée de tirer un trait sur sa carrière, elle a du mal à accuser le choc. Et pour cause, plus le temps passe, plus sa détresse s’accentue.

Bien avant la pandémie, Françoise Hardy prend ses distances avec Jacques Dutronc et leur fils Thomas. Soumise à de lourds et pénibles traitements pendant des mois entiers, elle tenter d’éliminer ses multiples tumeurs. Comble de l’horreur, à cause de son système immunitaire fragile, les médecins ne l’autorisent pas à se vacciner contre la COVID-19. Résultat des courses, elle s’isole de son entourage, mais aussi de ses fans.

Lassée par toutes les sottises qu’elle lit sur son compte, la chanteuse mythique décide de donner un coup de pied dans la fourmilière. En échangeant avec des journalistes par e-mail, son objectif n’est pas de faire la promotion de la tournée de Jacques Dutronc et de Thomas. Voulant à tout prix que l’exécutif planche sur une loi en faveur du suicide assisté, elle y met toutes ses forces. Va-t-elle y parvenir sans y laisser ses dernières plumes ?

Un constat révoltant

Sur les ondes de RTL, les auditeurs écoutent son témoignage fracassant. Après avoir compté, elle déplore avoir subi « 45 radiothérapies de gauche à droite du bas de la tête et les dix autres de haut en bas. » Pire, elles ont un effet dévasté sur son organisme. « Ils ont détruit ce qui permet d’irriguer la bouche, la gorge, le nez, les oreilles, les yeux et le cuir chevelu. » En décrivant son quotidien et ses maux avec ses mots, la femme de Jacques Dutronc sème la panique. « Je ne peux plus avaler grand-chose, et [cette sommaire et répétitive] préparation me prend plus de 5 heures. » Si elle devait résumer, elle dirait que ses « nuits sont pires que [ses] jours. »

Au bout du rouleau, elle tient tout de même à remettre sur le tapis le débat sur l’euthanasie. À l’instar d’Alain Delon, ce n’est pas de gaîté de cœur. Par contre, elle est plus que jamais convaincue d’une chose. Comparé à celles qui l’attendent, ses actuelles « souffrances physiques si terribles » sont minimes et ridicules. Elle souligne que la « morphine » injectée « en dose massive » au patient a la particularité d’assécher. Or, elle qui aurait besoin de douceur pour s’envoler risque de morfler deux fois plus. Enfin, elle redoute plus que tout d’infliger ça à son entourage. En exclusivité, elle dévoile l’avis de l’homme de sa vie, Jacques Dutronc.

Très pudique, ce dernier cache ses sentiments. Certains artistes ont choisi des carapaces en titane. Lui, ce sont ses verres fumés. En somme, il n’est pas né celui qui arrivera à lire son état d’esprit au travers. Le verdict de Françoise Hardy tombe. Il va traumatiser les aficionados du duo. « Nous sommes d’accord sur beaucoup de choses et il ne veut pas que je souffre de façon inhumaine à cause des séquelles de traitements trop lourds et de l’âge. » On l’aura compris, à la vie comme dans la mort, ces deux-là sont sur la même longueur d’onde.