Johnny Hallyday recevait une somme incroyable en cash avant d’entrer sur scène

Plus le temps passe, plus les langues se délient sur Johnny Hallyday. Outre sa réputation de coureur de jupons, celle d'homme avide d'argent refait surface. Aïe, ça pique !

© DDM – DAVID BECUS

À quelques jours du 5e anniversaire de la mort de Johnny Hallyday, ces révélations glacent le sang de ses admirateurs. On fait le point !

Les fans de Johnny Hallyday hallucinent

Cinq ans après sa mort, personne n’a oublié Johnny Hallyday. Pour preuve, sur la Toile, ils sont nombreux à lui rendre hommage. Certes, les admirateurs de la première heure n’ont pas toujours les moyens pour se recueillir sur sa tombe. Fort heureusement, ils conservent précieusement tous ces souvenirs de tournée. Et pour cause, dans le monde de la chanson, ses spectacles sont mythiques. Oui, pour s’offrir une place, on devait casser sa tirelire. Mais peu importe, cette soirée demeure gravée dans l’esprit et dans le cœur.

 

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Ces jours-ci, trois membres du staff de Johnny Hallyday jettent un pavé dans la mare. En balançant sur l’envers du décor des concerts, ils ne risquent pas de se faire des amis parmi les fans du Taulier. Pire encore, au fur et à mesure de la lecture de cet ouvrage polémique, on découvre une facette insoupçonnable de notre rockeur. Comment a-t-il pu en arriver là ? Objeko vous raconte tout dans les moindres détails !

Ce complexe qui aurait pu gâcher sa carrière

Au début des années soixante, tout séduit chez Johnny Hallyday. Sa façon de danser et de reprendre des tubes américains est hallucinante. Plus le temps passe, plus ses améliorations font vibrer les jeunes. En lui confiant le rôle d’idole, ils mettent la barre très haut. En coulisses, le concerné commence à paniquer. Hypersensible, il a du mal à gérer les critiques. Comme le précisent ses ex-assistants, ses détracteurs ont la dent dure. En propageant la rumeur qu’il « est bien gentil, mais il ne sait pas aligner dix phrases », ils réduisent ses efforts en papier mâché.

Brisé par ce statut « d’idiot » du village, il s’enferme peu à peu dans ses travers. Paradis artificiel, alc*ol, femmes, le moins que l’on puisse dire, c’est que Johnny Hallyday multiplie les excès. Fort heureusement, grâce aux renforts de virtuoses mélomanes tels que Jean-Jacques Goldman, sa cote de popularité remonte auprès des plus réfractaires.

Plus cigale que fourmi ?

Durant son enfance, il souffre de l’absence de repère masculin. Du coup, Johnny Hallyday a dû se forger une carapace en titane. Tétanisé par le manque de moyens, il rivalise d’ingéniosité pour ne jamais revivre la misère. Résultat des courses, même en tournée, le comptable doit impérativement remplir une étrange mission. « Cette enveloppe de 600 euros en petites coupures » a quoi peut-elle servir ?

Épicurien dans l’âme, on nous avoue qu’il « claquait tout dans la soirée en pourboires. » En comparant cette somme à « l’argent de poche que l’on donne à un gamin », les auteurs font très vite le parallèle avec l’« ancien pauvre » que Johnny Hallyday était. D’ailleurs, celui qui finançait pratiquement toutes les tournées a ce mantra qui tourne en boucle. Si ça ne marche pas, il aura « un peu gagné [sa] vie » ! Vu l’ardoise laissée à Laetitia, c’est le moins que l’on puisse dire !