En pleine promotion de son spectacle, Kev Adams enchaîne les plateaux de télévision. Sauf que cette fois, rien ne se passe comme prévu.
SOS Kev Adams en détresse !
Dès qu’on allume la radio ou la petit lucarne, Kev Adams apparaît comme par magie. Le moins que l’on puisse dire, c’est que depuis le mois de décembre, il n’a pas chômé. De surcroit, l’équipe d’Objeko l’a trouvé à la hauteur en tant que parrain du Téléthon. Mais ce n’est pas le seul projet qui l’anime. Dans quelques jours, la cinquième saison de Mask Singer. Même s’il a eu quelques couacs avec la production, il compte bien donner du fil à retordre à ses adversaires. Enfin, en tournée pour son spectacle, il veut se justifier sur son contenu.
Invité dans la seconde cuvée de Zen, Kev Adams a l’intention de dévoiler une partie de ses démons. Comme il l’a mentionné à plusieurs reprises, ça lui tient à cœur de confier ses complexes à son public. Sauf que les deux animateurs de Twitch TV ne l’entendent pas de cette oreille. Dès les premières minutes, ils vont faire vaciller son précieux équilibre. Comble de l’horreur, ils déboussolent au point qu’il en aura le souffle coupé. Mais que s’est-il passé pour que l’ex d’Iris Mittenaere arrive à ce stade ?
Tout d’abord, ils lancent un drôle de défi à Kev Adams. Après avoir évoqué ses débuts, et donc le feuilleton mythique Soda, ils mettent les pieds dans le plat. Même s’il sent à l’étroit, le comédien a conscience qu’il n’a pas le choix. Sous la pression des deux présentateurs, il accepte de refiler ce costume. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, ils insistent pour en savoir un peu plus sur la fameuse polémique de l’accent asiatique. Cette fois, c’est la goutte d’eau !
Un constat fracassant
On ne le sait pas toujours mais le plus grand ennemi de Kev Adams…c’est lui. Aussi bizarre que cela puisse paraître, son physique lui a souvent causé du tort. Doutant en permanence de sa silhouette, il précise qu’il ne pourra jamais oublier les brimades subies à cause de son surpoids. Les larmes aux yeux, il souligne qu’il connaît la définition de la stigmatisation.
Victime de harcèlement scolaire à Neuilly, il a des difficultés à s’intégrer auprès de ses petits camarades. « On m’appelait ‘bouboule’. J’avais 13/14 ans, c’est l’époque du collège, et c’est peut-être [celle] où les mômes sont les plus violents entre eux » D’ailleurs, plus le temps passe, plus le malaise s’installe. C’est l’évidence, il ne supporte pas de regarder ses premiers sketches tant la pression est encore forte. Ce cap de la trentaine qu’il vient de franchir, il le redoute comme la peste !
Par Kev Adams putain là c’est la gêne ultime https://t.co/Sz6iAJye6v
– Ev+ (@Paris_Capitale) April 4, 2023
Pour conclure sur une note joyeuse, Objeko a sélectionné un extrait du numéro de Zen. Face à cette blague de mauvais goût, le visage de Kev Adams se décompose, il semble prêt à s’enfuir par une porte dérobée. Or, une fois l’émission diffusée, ses admirateurs ne tarissent pas d’éloges à ce sujet. Chose rare, les hater n’ont aucun reproche à balancer. Être en Top Tendance Twitter, c’est une position confortable. En somme, il ne regrette (finalement) pas d’être venu !
