Le retour a bien marché. A cause des audiences de son édition 2022, la Star Academy est de nouveau sur TF1, avec son édition 2023 commençant le soir du samedi 4 novembre. L’émission est connue grâce à ses huit premières saisons, montrées sur TF1 entre 2001 et 2008. Par contre, la toute première saison de la Star Academy a mal commencé, comme Nikos Aliagas, le présentateur, le rappelle.
Nikos Aliagas : Les débuts difficiles à la Star Academy
Nikos Aliagas, l’animateur bien connu de la Star Academy, se rappelle clairement des défis qu’il a rencontrés lors du lancement de la première saison en 2001. À l’époque, Nikos Aliagas était encore un inconnu pour beaucoup. Il avait été repéré comme le journaliste grec de l’émission « Union libre ». La soirée du lancement de la Star Academy le 20 octobre 2001, n’a pas été un succès instantané. « Au début, ça ne marche pas du tout », se souvient Nikos Aliagas lors d’une interview à France Inter.
Il venait tout juste de quitter « Le journal de 20h30 », un programme qu’il présentait sur la chaîne de télévision grecque Alter. Cette décision lui posait question. Nikos Aliagas confesse : « Je me demande si je n’ai pas fait une erreur de casting. J’arrive le 11 septembre, j’ai arrêté le 20 heures le 3 septembre. »
Le soutien inconditionnel de sa mère
Nikos Aliagas, alors journaliste, a eu des moments de regret, de doute. Il a même pensé avoir pris une mauvaise décision en se lançant dans la présentation de divertissement. « Je me suis planté, j’ai fait la plus grosse connerie de ma vie, journalistiquement parlant », admet-il lors de son entretien avec France Inter. Nikos Aliagas constate que l’émission ne décolle pas.
Cependant, après de longues semaines, les audiences de la quotidienne et celles des prime de la première saison de la Star Academy commencent enfin à augmenter. « On finit à 14 millions », se rappelle Nikos Aliagas.
Malgré ces premières difficultés, il a failli abandonner l’émission en cours de route. Il est allé chercher du réconfort chez sa mère, Haroula Aliagas. Elle se souvient l’avoir laissé dormir sur le canapé, puis le lendemain, lui avoir dit : « Tes grands-parents ont combattu les fascistes. Dans la famille, on n’abandonne jamais, on finit toujours le travail ! Arrête de te plaindre, relève les manches et ça finira par marcher ! »
