Amandine Pellissard fait l’objet d’une poursuite judiciaire. Va-t-elle en prison ? Le verdict a été rendu !

Amandine Pellissard, ex-participante de "Familles nombreuses", redoutait d'être renvoyée en prison. Le 11 janvier 2024, elle a comparu en justice pour une affaire de vol. Le jugement a rapidement été rendu public.

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Pour Amandine Pellissard, le 11 janvier 2024 a été une journée cruciale. Ancienne membre du casting de Familles nombreuses, la vie en XXL diffusé sur TF1, elle a comparu devant le tribunal pour un cas de vol. Même si elle n’était pas physiquement présente au procès, Amandine Pellissard a rapidement partagé le résultat de l’audience sur Instagram.

Aujourd’hui, Amandine Pellissard ne manque de rien, en grande partie grâce à sa carrière dans l’industrie pour adultes. Cependant, la situation n’a pas toujours été aussi favorable. Dans le passé, elle a vécu dans des conditions très précaires. Mère de neuf enfants, elle a dû enfreindre la loi pour pourvoir aux besoins de sa famille. En 2015, elle a été condamnée à six mois de prison avec sursis et trois ans de mise à l’épreuve pour avoir émis des chèques sans provision. L’année suivante, elle a été appréhendée pour vol à l’étalage dans un supermarché, un acte pour lequel elle a finalement été jugée.

Le jugement d’Amandine Pellissard

Amandine Pellissard avait peur d’être incarcérée. D’autant plus que son avocat n’était pas particulièrement optimiste quant à l’issue de cette affaire. Pourtant, le jour du procès, elle a partagé de « bonnes nouvelles » sur Instagram. Après avoir remercié son avocat, Amandine Pellissard a révélé : « Il a effectué des recherches et a mis en lumière des éléments très pertinents, qui ont fortement renforcé ma défense. Grâce à lui, je n’aurai même pas à faire face à une révocation de sursis. Il a même présenté des éléments dont nous n’avions pas souvenir ou que nous ne pensions pas qu’ils pourraient être pris en compte. »

Amandine Pellissard a rappelé qu’à la suite d’une condamnation antérieure, elle avait été condamnée à un an de prison ferme, « à condition de bien se comporter pendant une période de mise à l’épreuve de trois ans ». Le problème était cette mise à l’épreuve. « Mais il a réussi à démontrer que j’ai été informée du début de ma mise à l’épreuve après les faits de récidive. (…) Cela a changé la donne », a-t-elle ajouté. Grâce à cela, Amandine Pellissard s’en sort avec « quatre mois de surveillance électronique à domicile ». « C’est vrai qu’à un moment j’ai accumulé les erreurs, j’ai été récidiviste pendant quelques années, mais depuis, je n’ai pas fait un faux pas. J’ai eu chaud », a-t-elle conclu.