Taquine avec ses partenaires à l’écran, Marion Game était glaciale avec ses proches. On vous raconte tout en détail !
Marion Game, ange ou démon ?
Qu’on apprécie aller au théâtre ou regarder la télévision, Marion Game est une légende. Depuis l’annonce de sa mort, ses collègues ne tarissent pas d’éloges à son sujet. De son côté, sa fille Virginie ne rentre pas dans les détails. Pire encore, ce communiqué officiel-hommage transmis par l’AFP, c’est sans doute l’un des plus courts de ces dernières décennies. Selon son aînée, « c’est dans la tendresse et l’affection des siens qu’elle est partie rejoindre les étoiles. » Circulez, y’a rien à savoir ? Bien au contraire, c’est tout l’inverse !
Depuis des mois, d’étranges rumeurs se répandent sur Marion Game. Absente du tournage d’un épisode spécial de Scènes de ménages, son camarade de scène met tout sur le dos de la fatigue. Or, les fans ne sont pas dupes. Sur la Toile, ils mènent l’enquête et échangent des détails croustillants. Quelques jours avant la tragédie, l’acteur et ancien présentateur Georges Beller évoque des problèmes de concentration et de mémoire.
Par contre, ne comptez pas sur l’entourage de Marion Game pour laver son linge sale en public. Discrète sur sa vie privée, celle qu’on adore surnommer Huguette a eu trois enfants. Tout d’abord, à peine majeure, la cigogne lui emmène Virginie. Pas assez mature pour gérer sa fille, Marion Game prend de sérieuses distances et divorce avec mari. Plus d’une décennie plus tard, son premier petit prince Mathieu arrive. Issu de sa romance d’avec Jacques Verlier, il éducolre son quotidien avec ses peintures. Enfin, il y a Romain. Fuyant les flashs et les caméras comme la peste, c’est une énigme !
Une absente criante
Confortablement installée chez Jordan, Marion Game met les choses au point. Parlant de ses héritiers comme s’il s’agissait d’illustres inconnus, elle avoue ne pas les inclure dans « [son] parcours de vie. » Au lieu de reconnaître ses torts, elle souligne qu’elle n’a jamais su s’épanouir dans son rôle de mère. Préférant miser ses jetons sur sa « carrière », elle doit faire des choix. Par exemple, dans son planning, elle donne la priorité à ses « dîners avec Paul Meurisse deux soirs par semaine » plutôt que de tendres moments avec les siens.
Au bout d’un moment, un fossé se creuse. Pas la peine d’avoir fait des études en psychologie pour comprendre que Marion Game reproduit (inconsciemment ?) un schéma. Balayant les critiques d’un revers de la main, elle s’exclame. « J’ai eu une enfance tellement plus douloureuse et dure. Je trouve qu’ils [en] ont eu une belle quand même ».
Juste après le confinement, la première de la fratrie se confie sur sa génitrice. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que son cœur saigne encore. « C’est mon papa qui m’a récupérée quand j’étais petite. Ma mère m’a beaucoup manquée. Elle partait beaucoup en tournée de théâtre à l’époque. Bref, ça ne se passait pas très bien, c’était très difficile. » Espérons que les deux femmes aient trouvé un terrain d’entente avant le drame. Une chose est sûre, à défaut de partager de bons souvenirs de cette période, elles ont en commun l’amour de la scène !
