Caissière condamnée pour escroquerie au supermarché
Une caissière avait un contrat temporaire de quatre mois à Carrefour Thionville. Cependant, elle a été poursuivie pour tentative d’escroquerie pour quelque chose qu’elle a essayé de faire d’incroyable.
Elle a sous-facturé les courses de ses sœurs le 31 décembre 2020, les faisant payer moins que la valeur réelle des courses. Les deux chariots bien remplis qu’elles avaient ne pouvaient pas être payés avec une aussi petite somme. Elles ont scanné les produits les moins chers avec une scannette tout en remplissant leurs chariots. Ensuite, elles se sont dirigées vers la caisse de leur sœur complice. Cette dernière a facturé les achats pour seulement 30 euros au lieu de 2 900,75 euros. Ensuite, elles avaient prévu de placer les marchandises dans la voiture de la caissière, qui était stationnée sur le parking du magasin.
La caissière explique sa situation devant le tribunal
La caissière condamnée pour escroquerie au supermarché a expliqué au tribunal que ses sœurs étaient responsables du vol. Elle a dit qu’elle n’avait pas eu l’idée elle-même, mais que ses sœurs l’avaient convaincue de participer seulement pour obtenir de la nourriture, comme mentionné dans cet article.
Cependant, les employés du supermarché ont remarqué leur plan. Un vigile a trouvé suspect que les deux sœurs aient deux chariots bien remplis alors qu’ils n’ont qu’une seule scannette. Ainsi, elles ont été arrêtées à la sortie de l’enseigne et les marchandises ont été récupérées.
Famille en difficulté financière
L’avocat de la caissière a plaidé que celle-ci, reconnue coupable de fraude au supermarché, n’avait volé que pour subvenir aux besoins de sa famille. Sa famille traverse une période de grande difficulté financière, c’est pourquoi elle a décidé de voler dans le magasin où elle travaillait à la fin de son contrat.
Cependant, le président du tribunal, Éric Lambert, a fait remarquer que le montant des produits volés ne représentait que 300 euros de produits alimentaires.
Par conséquent, le tribunal a condamné la caissière à 70 heures de travaux d’intérêt général sur une période de 18 mois. Sinon, elle risque une peine de deux mois de prison.
