Jamel Debbouze a récemment été interviewé dans l’émission « 50′ inside » où il était le portrait de la semaine. Dans cette interview, l’humoriste a parlé de sa famille. Et notamment de ses deux enfants qu’il a eus avec son épouse Mélissa Theuriau. Il a déclaré que ses enfants lui ressemblent car ils partagent sa personnalité ainsi que celle de son épouse. Selon lui, ils ont grandi en les voyant vivre, évoluer et discuter, et il a l’impression qu’ils cherchent à les imiter.
En parlant de sa famille, Jamel a également partagé ses souvenirs d’enfance et ses relations avec les membres de sa famille élargie. Il a évoqué son grand-père, qui était son héros. Ainsi que son oncle qui l’a initié à la comédie. Il a également évoqué de sa mère et de la façon dont elle l’a encouragé à poursuivre ses rêves.
Pour Jamel Debbouze, la famille est une source d’inspiration et une force motrice dans sa vie. Il croit fermement que la meilleure façon de transmettre est simplement d’être soi-même, sans essayer de forcer les choses. Et cela se reflète dans sa relation avec sa propre famille ainsi que dans son travail.
Jamel Debbouze ne veut pas voir ses enfants grandir trop vite
Depuis la naissance de ses enfants, Jamel Debbouze a appris à être attentif à eux en pratiquant l’écoute active. Il pense que l’attention est primordiale pour que les enfants ne se sentent pas ignorés. Pour lui, le plus important est de profiter pleinement du moment présent avec ses enfants et de ne pas être distrait par autre chose.
Cependant, ce qu’il craint le plus, c’est de voir ses enfants grandir et partir. « Il faut être prêt pour ça. Mais je ne suis pas du tout prêt », a-t-il dit en plaisantant. Nikos Aliagas, qui est également père de deux enfants, Agathe (10 ans) et Andreas (6 ans), nés de sa relation avec Tina Grigoriou, partage cette inquiétude.
Il n’est pas rare que l’animateur de « Marrakech du rire » parle de ses enfants lors d’entretiens. Quelques mois auparavant, il avait déclaré que son fils voulait « devenir Mbappé », tandis que sa fille souhaitait « faire de la comédie musicale ».
