Kev Adams fait des révélations inattendues sur son énorme complexe physique

Derrière son beau sourire, Kev Adams cache une sensibilité à fleur de peau. Et pour cause, ces brimades subies pendant son enfance, elles continuent de lui briser le coeur !

© Elisa Gerlinger

Se croyant à l’abri dans sa carapace en titane, Kev Adams utilise l’humour pour se défendre. Hélas, tout remonte souvent à la surface. Aïe…

Kev Adams ne s’aime pas !

 

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Dans les colonnes de Gala, Kev Adams montre une facette étrange de sa personnalité. À l’hôtel pendant les tournées, dans sa loge ou havre de paix, ce TOC contamine ses moments de joie. Pire, il lui gâche le quotidien. Quand il se retrouve nez à nez avec un miroir, il prend la poudre d’escampette. Selon lui, cela vient de son image. Ne pouvant pas se voir en peinture, il réalise un portrait loufoque de sa silhouette. Franchement, on est d’accord, il n’est pas « difforme avec des petits yeux » !

Pas la peine d’avoir fait des études de psychologies pour comprendre à quel point Kev Adams est un homme anxieux. Certes, les années aidant, il arrive un tout petit peu à placer ses angoisses dans une boite. Pourtant, loin d’avoir totalement disparu, ses obsessions remontent de temps en temps à la surface. Déterminé à les partager avec ses admirateurs, il prend le risque de les mettre à dos.

 

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Il y a une décennie, Kev Adams faisait le point sur sa morose préadolescence. À 8 ans, et jusqu’à ses 13 ans; tout basculé. « J’ai été bouboule, pour ne pas dire plus. Ça a été une période très dure. » En conflit permanent « avec les nutritionnistes ou les spécialistes de santé », il doit gérer avec les tentations sucrées et salées de la cantine. Une fois chez lui, il recharge un peu ses batteries. Hélas, après « le week-end ou les vacances« , la cour de récréation ressemble à une fosse aux lions. Le surnom de « Kevo le gros » a de fortes chances de lui coller à la peau jusqu’à son dernier souffle.

Tout s’explique !

Incapable de s’engager avec une femme, Kev Adams sait que les réflexions nauséabondes évoquées plus haut l’empêchent de franchir le pas. « Beauté, séduction, rapport à la gente féminité », tout serait à la fois lié et emmêlé dans son esprit. En somme, malgré tout l’amour offert par ses parents, son enfance n’a pas été un long fleuve tranquille. Le mot insouciance, il ignore ce que cela signifie.

À l’instar de nombreux humoristes, il préfère enfiler un costume de clown. Son objectif est de dissimuler ce genre de pensées négatives. Même quand il tente de surveiller son alimentation ou de faire du sport, il ne voit pas la moindre amélioration.

En voulant se mettre en scène avec une glace, Kev Adams semble motivé à changer. D’humeur philosophie, il précise.  » Ce miroir, c’est aussi celui de la société d’image dans laquelle on vit. » Face à autant de regrets et de tristesse, l’équipe d’Objeko lui envoie ses plus chaleureuses pensées. Croisons les doigts pour qu’il parvienne à recoller rapidement les morceaux !

Merci à nos confrères du JDD et de Gala