Le week-end dernier, Alexia Laroche-Joubert était invitée sur l’émission On refait la télé d’Eric Dussart sur RTL. Au cours de l’émission, elle a abordé les spéculations concernant le potentiel remplacement de Denis Brogniart en tant qu’animateur de l’émission à succès Koh-Lanta.
Malgré avoir nié avoir connaissance de cette rumeur, la journaliste a insisté en citant les récentes accusations de harcèlement contre Denis Brogniart et a souligné que « certains demandent son départ de Koh-Lanta ». Le producteur du jeu de survie de TF1 a répondu fermement en déclarant « Je n’ai jamais entendu parler d’une demande de départ de Denis Brogniart de Koh-Lanta.
Je vous mets au défi de me montrer un article ou quoi que ce soit à ce sujet ! ». Elle a ensuite ajouté : « Nous partirons tous les deux à la retraite, donc je n’aurai pas à gérer le remplacement de Denis Brogniart, ce qui me convient très bien ».
Pour Alexia, sa collaboration avec l’animateur de TF1 n’est pas sur le point de se terminer, malgré les accusations portées contre lui. Elle a exprimé son point de vue à un moment donné car elle a trouvé cela inacceptable. C’était du harcèlement et le harcèlement était plus dirigé contre Denis, qui s’est excusé, que contre ces deux moments de perte de contrôle, qui étaient purement verbaux, en public et sans aucune sanction ultérieure, puisque les deux jeunes femmes ont continué à travailler.
Elle estime qu’il est important de reconnaître et d’aborder ces problèmes, mais aussi important de maintenir des relations basées sur le respect et la gentillesse, qu’elle a maintenues avec les équipes techniques et éditoriales des programmes dans lesquels elle a participé pendant 30 ans.
Pour rappel, en janvier dernier, plusieurs anciens collaborateurs de Denis Brogniart, notamment les journalistes Charlotte Namura et Anne-Laure Bonnet, ont parlé dans les pages de Voici du comportement colérique de l’animateur et ont confié avoir vécu des scènes d’humiliation au travail.
Denis Brogniart a rapidement réagi en s’excusant et en expliquant : « Rien ne justifie mon comportement, qui a suivi certaines difficultés. Ces faits isolés ne rendent pas compte des relations privilégiées basées sur le respect et la gentillesse que j’ai entretenues avec les équipes techniques et éditoriales des programmes dans lesquels j’ai participé pendant 30 ans. Je tiens à m’excuser auprès de ceux que j’ai pu blesser ».
Il est important de noter que l’adresse et la reconnaissance d’incidents de harcèlement, de harcèlement moral et d’humiliation sur le lieu de travail sont cruciales pour créer un environnement de travail sûr et respectueux pour tous les employés.
