Alerte, danger : cette boisson populaire double le risque de cancer de l’intestin

Contrairement à d'autres, ce n'est pas toujours évident de détecter à temps le cancer de l'intestin. À cause d'un gène à parler de ses besoins naturels, on est dans le deni. Sauf qu'une fois consommé en masse, ce liquide va vous forcer à prendre les choses en main.

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Lorsque le verdict du cancer de l’intestin tombe, il est hélas déjà trop tard. Heureusement, chez Objeko, on sait quoi vous (dé)conseiller !

Le cancer de l’intestin comme vous ne l’avez jamais lu !

Chez Objeko, afin d’éviter la panique, on ne préfère pas vous donner les chiffres. Hormis pour les férus de statistiques, ce n’est pas parlant pour le commun des mortels. Par contre, on privilégie vous mettre face à vos responsabilités. En effet, si vous faites des bilans réguliers auprès de votre généraliste, il n’y a pas de raisons que ce cancer devienne impossible à maîtriser.

Preuve étant, les spécialistes insistent pour que les plus de soixante-cinq ans fassent un dépistage annuel de ce type de cancer. En offrant l’examen, l’Assurance Maladie espère éviter des catastrophes. Une fois décelée, la maladie se propage plus vite que la lumière. Aussi, si vous avez remarqué quelques traces d’hémoglobine dans vos selles, c’est le moment de tirer la sonnette d’alarme. Accompagnées par une sensation récurrente d’inconfort abdominale, elles s’associent à une mauvaise digestion des repas de famille. Nettement plus mince que d’habitude, la nourriture n’est une source de bonheur, mais de malheur.

Voici ce que vous devez éviter, mais aussi prioriser

Ah que les fabricants de boissons ont du talent pour titiller notre curiosité. En développant leur gamme avec des recettes sans sucre ou de saveurs, ils mettent l’eau à la bouche des aficionados. Qu’on se dise, ici, la star, ce n’est vraiment pas le fruit. Par contre, question quantité de bulles, les amateurs en prennent plein la vue. Récemment, c’est notre ami Paga qui a eu la peur de sa vie. Ayant abusé d’un liquide énergisant, il a frôlé la catastrophe. Ce n’était pas un cancer, mais bien une crise cardiaque qui l’attendait au tournant.

Entre les végétariens et les carnivores, la tension monte d’un cran. À l’heure où l’équipe d’Objeko écrit ces lignes, elle a du mal à les départager. D’une part, les premiers vont développer des carences irréversibles. En ce qui concerne les abus des autres, nul doute que le cancer risque de se propager nettement plus rapidement dans l’organisme. Interrogé par confrères, cet expert de la nutrition insiste sur un point. Le quota « ne devrait pas dépasser 500 g de viandes hors volailles — ce qui est pourtant le cas de 40 % des hommes en France — et 150 g de charcuterie par semaine. » Ah cette fameuse tranche, on ignore qu’elle pouvait autant détruire notre quotidien.

Pour conclure cet article sur le cancer sur une note un peu plus positive que d’ordinaire, Objeko vous conseille de manger un bol de céréales complètes au petit déjeuner. Et oui, cette viennoiserie grignotée à la hâte avec un café, c’est tout sauf une bonne idée. Ensuite, pour le repas du midi ou soir, mettez le paquet sur du poisson. Accompagnée par une poêlée de  légumes vapeur, c’est un délice. Enfin, en dessert, après son carré de chocolat (noir), pariez sur un fruit jaune ou rouge. Faites en sorte qu’il contienne de la vitamine C ou D et le tour est joué.