Comme prévu, la fin de la Taxe foncière est venue avec son lot de conséquences. Bien que cela ait été une bonne nouvelle pour de nombreux citoyens, l’arrêt de cette taxe a laissé un trou béant dans les finances de l’État. Cela signifie que l’État cherchera toujours à récupérer ces pertes financières d’une manière ou d’une autre. Par conséquent, si ce n’est pas le tarif des carburants qui augmente en période de vacances estivales, il est maintenant prévu que la taxe d’habitation augmente. Cette augmentation peut être un fardeau pour de nombreux ménages déjà confrontés à des difficultés financières. En conséquence, les citoyens devraient être informés des changements à venir et être prêts à faire face à ces augmentations de taxes potentielles.
Augmentation de la taxe foncière
Cette taxe ne concerne ainsi que les propriétaires et non les locataires. Le montant de l’impôt varie considérablement selon la commune où vous êtes propriétaire. Ce qui rend ainsi difficile de déterminer à quel point vous serez affecté. Selon l’Union nationale des propriétaires immobiliers, la hausse moyenne sera de 7,1 %, en étant calée sur l’inflation. Tous les propriétaires sont concernés, sauf ceux des communes qui ont décidé de conserver les mêmes taux de taxes que l’année dernière.
Impact sur le budget des propriétaires
L’impôt foncier a été augmenté l’année dernière pour compenser les pertes liées à la suppression de la taxe d’habitation. En moyenne, cela représente un budget de 1332 euros par an pour les Français. Soit 111 euros par mois. Cela équivaut à la mensualité pour accéder à un véhicule électrique selon les propositions de l’État français-
Taxe foncière moins élevée dans les grandes villes
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les grandes villes ont en général une taxe foncière moins élevée. Par exemple, l’année dernière, la taxe foncière était de 770 euros à Paris alors qu’elle était de 1300 euros au Mans. Si vous habitez une grande ville française, il est probable que vous soyez moins touché par l’augmentation. Sauf à Paris où une hausse de 51,9 % est prévue.
