De nature pudique, Florent Pagny accepte de se confier en exclusivité sur TF1. En écoutant ses aveux, Michel Cymes tombe à la renverse !
SOS Florent Pagny en détresse !
Cet appel de Florent Pagny, Audrey Crespo-Mara ne l’oubliera jamais. Depuis qu’elle est la chef d’orchestre du portrait de Sept à Huit, la chérie de Thierry Ardisson rivalise d’ingéniosité pour bluffer les téléspectateurs. C’est désormais une évidence. Cet entretien de Florent Pagny ne laisse personne indifférent. Et pour cause, après plus d’un an de silence radio, il accepte enfin de raconter en détail son cauchemar sanitaire. Pour ce pudique de nature, ce n’est pas simple de tomber le masque. Et pourtant, avec humilité et franchise, il déballe tout.
Organisé en trois rendez-vous, ce reportage nous emmène dans les Yvelines, à New York et en Patagonie. À chaque fois, Florent Pagny essaie de mettre un peu d’humour dans ses réponses. Malgré tout, pas la peine d’avoir fait de longues études en psychologie pour se rendre compte que cela cache une hypersensibilité. Hélas, durant les cinq dernières minutes, tout va basculer. En une phrase, le mari d’Azucena réduit en fumée le moral de ses admirateurs de la première heure.
Juste avant de recevoir l’équipe de TF1 dans son havre de paix, une récente et « énorme quinte de toux » met la puce à l’oreille de Florent Pagny. Sachant que d’étranges taches blanchâtres rôdent encore dans ses poumons, les médecins lui demandent de faire un scanner en urgence. Le verdict est sans appel. En un temps record, le papa d’Inca et d’Aël avait réussi à éliminer sa tumeur de la taille d’un « kiwi puis d’une noisette ». Du coup, ce nouveau ganglion tombe comme un cheveu sur la soupe !
Et là, c’est le drame !
Pour les victimes de cancer, la probabilité d’avoir des « métastases » frise parfois l’obsession. Du côté de Florent Pagny, on préfère pratiquer la politique de l’autruche. Autrement dit, après des séances épuisantes de chimiothérapie, le chanteur envoie tout balader. Malgré tout le respect qu’il a pour le personnel soignant, il prend la poudre d’escampette. Se sentant en forme, il refuse catégoriquement de s’engager dans un protocole d’immunothérapie ! Aujourd’hui, il regrette à demi-mot de s’être cru sans doute un peu plus fort que la maladie. Et nous aussi…
Invité à BFMTV, Michel Cymes persiste et signe. Davantage attiré par les caméras et les projecteurs que par son stéthoscope, il accepte de renfiler de temps en temps sa blouse de médecin. Après avoir fait le point sur le parcours épique de Florent Pagny, il balance un détail de la plus haute importance. « L’immunothérapie va vous permettre de diminuer le risque de rechute. »
Autrement dit, même si le patient a la fâcheuse « impression qu’il n’y a plus rien, parce qu’il peut y avoir une cellule qui est partie à un moment donné. » Indétectable au radar, elle n’hésitera pas à se loger et se « développer ailleurs dans l’organisme. » Croisons les doigts pour que ce rebondissement ne soit pas le début d’un énième cauchemar pour Florent Pagny. Suite dans le prochain numéro d’Objeko !
