Bienveillante et surtout droite dans ses bottes, Karine Le Marchand a toujours mille idées à la seconde. Carrière, poids, elle déballe tout !
Karine Le Marchand, enfin apaisée ?
Durant les années 80, Karine Le Marchand quitte son cher Nancy pour la capitale. Déterminée à percer dans le milieu du mannequinat, elle va rivaliser d’ingéniosité pour se faire un nom. Hélas, malgré tous ses efforts, elle n’arrive pas du tout à s’intégrer ni à saisir les coulisses de cet univers. Réputé pour ses paillettes, elle réalise que c’est de la poudre de perlimpinpin. Plus de trois décennies après, son agacement est toujours intact ! On dirait presque qu’elle a claqué la porte hier…
Profondément bienveillante, la meilleure amie de Stéphane Plaza est allergique à l’arrogance de certains couturiers. Assumant sa forte personnalité, elle ne supporte pas de faire rabaisser au rang de « femme-objet ».
Très vite, cet exemple de Karine Le Marchand ne laisse personne indifférent. « Quand on défilait, il fallait faire la gueule et je rigolais tout le temps. » Voulant crier sa vérité à ses admirateurs et fermer le clapet à ses détracteurs, Karine Le Marchand explique notamment qu’un souci avec son image l’a poussé à rebrousser chemin.
Plus jamais ça !
Dans les colonnes de Gala, Karine Le Marchand jette un pavé dans la mare. « Quand j’ai commencé, on m’a dit que j’avais trop de hanches. » Aussi étrange que cela puisse paraître, elle va tout faire pour gommer ce soi-disant défaut. « Je me suis mise à faire du sport, ne mangeais quasi plus. » Le constat est sans appel. « Je suis passée sous la barre des 50 kilos pour 1m77. »
Avec le recul, l’animatrice de L’amour est dans le pré sait qu’on pourrait associer son attitude à un trouble du comportement alimentaire. Sans tomber dans la sphère du « pathologique« , Karine Le Marchand estime que cette sombre période a laissé des traces dans son quotidien. « Dans la vie, je suis tout ou rien. Pour tout. Et dans l’hyper contrôle. »
Jamais sans ses jeûnes
Juste après la pandémie, Karine Le Marchand relève les coulisses de son quotidien. « Je bois peu [et] ne fume plus. Je fais du sport presque tous les jours, fais attention à ce que je mange, sinon je grossis. » Avec un sourire en coin, elle explique avoir connu deux zones de turbulences. « Deux fois dans ma vie j’ai d’ailleurs pesé 20 kilos de plus. À 18 ans et une autre quand j’étais enceinte de ma fille. » Résultat des courses, elle « adapte [sa] façon de vivre à [son] métabolisme. »
Très en vogue sur les réseaux sociaux, Karine Le Marchand adhère aussi au concept du jeûne intermittent. Pour elle, ça prend des proportions hallucinantes, puisque ça dure « seize heures, entre le dîner et le déjeuner. » Cinq jours sur sept, elle vérifie tout. Les deux autres, elle relâche la pression.
Enfin, transparente avec ses fans, elle conclut en parlant de son « jeûne hydrique. » Pendant une semaine, elle « ne boit que de l’eau et des tisanes. » Attention, cher lecteur d’Objeko, Karine Le Marchand précise qu’elle a consulté un médecin avant de se lancer dans cette aventure nutritionnelle. Suite dans le prochain numéro !
