Souvent, le choix d’un prénom bizarre peut avoir des conséquences sur le moral de l’enfant. Taquiné, il va en vouloir à la Terre entière !
Cette liste de prénom n’a pas le vent en poupe
À l’annonce d’un heureux événement, tout le monde est sur un petit nuage. Tout d’abord, le fait que la famille s’agrandisse est une excellente nouvelle. De l’autre, les hypothèses se multiplient. À qui va-t-il ressembler ? Comment vont se passer la cohabitation les membres de la tribu ? Autant de questions qui tournent en boucle dans l’esprit des futurs parents. Mais s’il y a bien un sujet pénible à aborder, c’est celui du prénom.
Vraiment personnelle, cette décision mérite quelques mois de réflexion. D’ailleurs, en sondant notre équipe, on se rend compte qu’une majorité ne souhaite pas divulguer cette information avant la naissance. Comme si cela pouvait porter préjudice à l’enfant à venir. Du coup, jusqu’au premier cri de ce dernier, le suspense est insoutenable. Qu’on se le dise, dans certains cas, échanger autour du prénom permet d’éviter des catastrophes. Imaginez la tête du papa s’il apprend que l’état civil refuse catégoriquement son choix ! Par conséquent, Objeko vous fournit un florilège des plus cocasses…au point d’être formellement interdit aujourd’hui !
À bannir de votre esprit
Fan de bande dessinée ou de film, ce n’est pas toujours bien vu d’appeler le bébé Astérix, Superman, Pluto, Titeuf, Monkey ou Bob l’éponge. Et pour cause, que ce soit à la crèche, auprès de la nounou ou à l’école, Objeko n’ose pas imaginer la quantité astronomique de jeux de mots dévirés autour de ce prénom !
C’est une évidence. Cette princesse ou ce chevalier est un cadeau du ciel. Pour autant, on vous recommande de sélectionner Christ en guise de prénom. D’une part, la Bible est suffisamment claire sur l’ensemble de ses souffrances et ne souhaite pas que quelqu’un d’autre les subisse. Ensuite, la loi sur la laïcité doit être respectée à la lettre.
Pour ceux qui veulent à tout prix rendre hommage à leurs origines ou à un proche disparu, pensez toujours à l’orthographe du prénom. Tréma, cédille, accent sont autant de critères qui ne passent pas auprès des administrations. Brfxxccxxmnpcccclllmmnprxvclmnck. Face à cette succession de consonnes, on pourrait croire à des fautes de frappe en cascade. Or, sans que l’on comprenne quelle mouche l’a piqué, ce Néo-Zélandais a osé … et il ne faut surtout pas l’imiter !
Même s’il contient de l’huile de palme, le Nutella a toujours le vent en poupe. Sauf que personne ne souhaite avoir ce prénom sur sa carte d’identité !
Transformer des mots du dictionnaire en prénom est vraiment étrange comme idée. Par exemple, comment expliquer que Clitorine, Duc, King, Vagin, Baron, Justice, Violence ou Anomalie figurent dans les archives des mairies ? Quant au tableur informatique Excel, il aurait attribué un peu plus de 150 fois.
De leur côté, les marques ou les personnalités n’apprécient pas forcément ce « vol ». Vous avez beau déposer des droits ou avoir une bonne raison, ça ne fonctionne pas. Autrement dit, le prénom Mini-Cooper, Prince-William, Winston Churchill n’aura sans doute pas la même destinée que leurs propriétaires.
