L’arnaque qui implique la Banque de France fait des ravages, attention à cette fraude !

En ce moments, les histories d'arnaque se répandent comme de la mauvaise herbe. Dire qu'on croyait freiner la motivation des faussaires, on se trompait lourdement. Dans ce contexte houleux, la Banque de France réagit avec perte et fracas. On vous dit tout !

© Lionel Garnier

Pour la première et l’ultime fois, la Banque de France brise le silence. Menacée par une arnaque, elle explique les détails de cette arnaque.

Une arnaque pas comme les autres

Après trois ans de crise sanitaire, le moral est au plus bas. Et pour cause, ce taux d’inflation record nous occasionne des soucis. C’est presque mission impossible de ne pas finir à découvert. Tout d’abord, régler ses emplettes au supermarché est un calvaire. Ensuite, trouver du gazole ressemble à une épreuve de Koh-Lanta. Enfin, quand ils découvrent leurs dettes auprès du fournisseur d’énergie, les boulangers font grise mine. Comble de l’horreur, la rubrique fait-divers vient d’annoncer une nouvelle arnaque. Cette fois-ci, la Banque de France serait devenue la cible préférée des voleurs.

Par souci de discrétion, peu enclin à prendre la parole, cet organisme n’a malheureusement pas le choix. Malgré la panique suscitée par cette arnaque, l’objectif est de mettre à contribution les Français. Déplorant l’ »existence de faux chèques en circulation rédigés sur papier libre » la Banque de France nous donne une astuce pour repérer l’escroquerie. Elle précise qu’elle en serait soi-disant la principale émettrice.

Sauf que ce n’est désormais plus possible de faire appel à elle pour ce genre de services ! Pendant la pandémie, elle décide de couper les robinets à tous les particuliers en proie à des difficultés financières. Autrement dit, on comprend que cette arnaque n’a qu’un seul but… tout chambouler sur son passage !

Un mécanisme bien ficelé

Hélas, sur la Toile, la rumeur continue de se répandre comme une traînée de poudre. Ces fameux « conseils mentionnés les incitant à rédiger de tels écrits sur papier libre pour payer leurs factures » semblent gravés dans le marbre. Qualifiées de « fantaisistes« , ces instructions ne sont pas d’actualité. Et vu leur décalage avec la réalité, il convient d’appeler ça une arnaque !

Qu’on se dise, rédiger un bon soi-même est une folie. D’autre part, vous devez impérativement  mentionner des informations spécifiques. De l’autre, vous vous engagez envers le destinataire de ce chèque. Autrement dit, s’il se lésé par cette arnaque, rien ne pourra l’empêcher de porter plainte contre vous ! Vu les frais engendrés et les dommages collatéraux sur votre avenir, amorcer dans une bataille judiciaire est tout sauf une judicieuse idée.

Enfin, la Banque de France supplie les experts de l’énergie, propriétaires de biens immobiliers ou collectivités à ne jamais « accepter » ce procédé douteux. Croisons les doigts pour que cette arnaque ne soit bientôt qu’un mauvais souvenir.  De son côté, le gouvernement tente d’apaiser les tensions à sa manière. Va-t-il y parvenir sans y laisser davantage de plumes ? Vu le tollé provoqué par la réforme des retraites, l’équipe d’Objeko a de sérieux doutes. Par contre, à l’aide de toutes les allocations distribuées par les antennes locales de CAF, ils ont bon espoir de refaire démarrer l’économie. La suite, vous la lirez forcément dans notre prochain numéro !